Après l’excellent « L’homme qui voulait être heureux », genre d’ « Alchimiste » nouvelle génération, j’étais très pressé de plonger dans « Dieu voyage toujours incognito «, le nouveau bébé de Laurent Gounelle, un pavé de plus de 400 pages. Même pas peur ! Il faut dire que je m’étais tellement régalé avec son premier livre que mon appétit était gargantuesque. Et là, je dis une nouvelle fois « bravo » ! Ce roman fleuve nous entraîne dans ses délicieuses considérations philosophiques, ses interrogations sur notre vie, l’importance de nos choix… mais en toute simplicité, et surtout sans nous brouiller l’esprit. Grâce à des dialogues brillants, le lecteur n’est jamais perdu et suit avec plaisir le cours de l’histoire, teintée de suspense et de rebondissements hallucinants – surtout la fin. Mais chut. Le seul petit bémol, à mon humble avis, reste la forme de l’écriture que je trouve des fois trop clichée et deux ou trois étrangetés qui ont attiré mon attention. Genre le héros vient des Etats-Unis et ignore la traduction de « feedback »… Etrange, non ?
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